DEMANDE D’APPUI

Le COLEAD conçoit, gère et met en œuvre des programmes de développement dans le secteur agricole et alimentaire en vue de contribuer aux objectifs de développement durable. En ligne et sur le terrain, nous fournissons une assistance technique, une formation professionnelle et des services d’appui couvrant le courtage en recherche et innovation, le suivi des réglementations et des normes, la connaissance des marchés, les réseaux et les alliances, et l’accès au financement.

Le COLEAD travaille dans les pays à faible et moyen revenu, en particulier dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique.

Pour bénéficier d’un programme d’assistance technique (actuellement uniquement disponibles dans les pays ACP), il suffit de formuler une demande d’appui. Il s’agit de la première étape pour envisager un plan d’action et avoir accès à une assistance technique via les programmes.

Pratiquement, choisissez ci-dessous le formulaire qui correspond le mieux à votre type d’organisation.

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Si vous ne reconnaissez pas votre entité dans les catégories présentées (entreprise horticole, prestataire de service, autorité compétente, structure d’appui, organisation professionnelle, institution de formation, organisme de recherche), ou si votre structure n’est pas localisée dans un pays ACP, veuillez remplir le formulaire « autres structures ».

Plus d'informations sur les catégories de partenaires-bénéficiaires

En tant que « partenaire bénéficiaire », les catégories suivantes d’organisations basées dans les pays membres de l’Organisation des Etats ACP (OEACP) sont identifiées pour les demandes d’appui :

  1. Les entreprises horticoles1 qui comprennent les MPME horticoles (y compris les groupes d’agriculteurs/coopératives) qui produisent et/ou conditionnent et/ou transforment et/ou vendent des produits horticoles sur les marchés nationaux, régionaux et/ou internationaux.
  2. Les prestataires de services qui comprennent les consultants (tels que, par exemple, les formateurs et les experts), les sociétés de consultance ; et les organismes de certification actifs dans le secteur horticole.
  3. Les institutions de formation qui comprennent les institutions de formation technique et professionnelle agricole et les universités ;
  4. Les organisations professionnelles qui comprennent les organisations dont les membres appartiennent au secteur horticole et/ou aux chaînes de valeur agroalimentaires végétales2, par exemple les associations d’exportateurs, les associations nationales horticoles, etc.
  5. Les structures d’appui aux petits producteurs qui comprennent les ONG, les services de vulgarisation publics ou privés, les programmes locaux d’appui aux petits producteurs et les organisations/associations d’agriculteurs ayant une fonction représentative, actives dans les chaînes de valeur horticoles et/ou agroalimentaires végétales.
  6. Les autorités compétentes pour les chaînes de valeur agroalimentaires horticoles et/ou végétales en matière sanitaire et phytosanitaire au niveau national/régional, y compris les contrôles officiels, qui élaborent et mettent en œuvre des politiques et des règlements SPS et, plus généralement, des stratégies SPS nationales/régionales et des comités SPS nationaux/régionaux et/ou des plateformes de parties prenantes public-privé.
  7. Les organismes de recherche qui comprennent toute entité publique ou privée dont l’objectif principal est de mener des recherches scientifiques dans le domaine de l’horticulture, y compris (mais sans s’y limiter) les universités, les réseaux, les associations, les plateformes et les consortiums de recherche.

Si vous ne reconnaissez pas votre entité dans les catégories présentées (entreprise horticole, prestataire de service, autorité compétente, structure d’appui, organisation professionnelle, institution de formation, organisme de recherche), ou si votre structure n’est pas localisée dans un pays ACP, veuillez remplir le formulaire « autres structures ».

1 « Horticulture » regroupe les chaînes de valeur correspondant aux codes du système harmonisé suivants : légumes (chapitre 07), fruits (chapitre 08), épices (chapitre 09 de 0904 à 0910), huiles (chapitre 15, 1509 et 1510 pour l’huile d’olive, 1513 pour l’huile de coco), fruits et légumes transformés (chapitre 20), et herbes aromatiques (classées comme légumes, ou épices ou plantes). Le soutien du programme vise « directement » les acteurs actifs dans le secteur horticole.

2« Autres chaînes de valeur agroalimentaires végétales » : étant donné la nature similaire des problématiques en termes de conformité SPS et de durabilité auxquels sont confrontées les autres chaînes de valeur agroalimentaires végétales (par exemple, les chaînes de valeur des fleurs et des plantes) par rapport aux chaînes de valeur des fruits et légumes et, dans certains cas, étant donné les interrelations entre les opérateurs des différentes chaînes de valeur (ex. inspecteurs du secteur public, MPME, organisations professionnelles, structures d’appui aux producteurs), le programme prévoit la possibilité de soutenir « indirectement » d’autres chaînes de valeur agroalimentaires végétales par le biais d’organismes intermédiaires tels que les autorités compétentes, les organisations professionnelles ou les structures d’appui aux petits producteurs dans les pays membres de l’OEACP. Le soutien indirect se réfère principalement à la production et à la diffusion d’informations, de matériels techniques et de formation développés pour le secteur horticole et qui sont pertinents pour d’autres chaînes de valeur agroalimentaires végétales.

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FAQ pour les demandes d’appui
Quels sont les critères pour être éligibles au soutien de programmes gérés par le COLEAD ?

Les critères d’éligibilité dépendent du programme géré par la COLEAD. Veuillez vous référer à la section des programmes du site web pour explorer l’étendue des programmes actuels et ceux qui pourraient être directement pertinents pour votre organisation.
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Comment accéder au soutien des programmes gérés par le COLEAD ?
  1. Envoyer par le site Internet du COLEAD une demande d’appui au COLEAD
  2. Construire un projet de développement avec le COLEAD
  3. Mettre en œuvre le plan d’action et s’engager à respecter les rôles et responsabilités convenus, tels que définis dans le plan d’action.

Il existe trois types de projets de développement :

Projet d’apprentissage autonome ;
(ii) Projet d’appui standard ;
(iii) Projet sur mesure.

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De quels types d’activités vais-je bénéficier grâce à un « projet d’apprentissage autonome » ?

L’esprit du projet d’apprentissage autonome est de faire en sorte que le demandeur soit en meilleure position pour améliorer continuellement ses opérations, et ainsi contribuer de plus en plus à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD), en :

  1. Accédant aux ressources disponibles du COLEAD via les plateformes en ligne (y compris l’E-Learning avec des cours d’auto-apprentissage) ;
  2. Effectuant de manière autonome une auto-évaluation de durabilité ou SPS (sur une base volontaire).
  3. Recevant des mises à jour régulières sur les activités du COLEAD et les nouvelles du secteur agroalimentaire UE-ACP ;
  4. Se connectant à une communauté de professionnels partageant la même vision, pour un apprentissage entre pairs, des opportunités d’activités promotionnelles, etc ;
  5. Contribuant à la définition des priorités en termes de développements techniques et politiques futurs du COLEAD par le partage de défis et/ou d’opportunités individuels ;

Le demandeur bénéficiera de l’orientation et des conseils de l’équipe du COLEAD en charge des activités d’appui dans son pays pour tirer pleinement parti des opportunités d’apprentissage et d’amélioration du projet d’apprentissage autonome, conformément à son contexte, ses objectifs et le mandat du programme dans le cadre duquel le projet est construit.

En outre, grâce aux partenariats existants du COLEAD, des opportunités de fournir un soutien complémentaire au demandeur pourraient être identifiées.

Enfin, le demandeur peut bénéficier d’une éventuelle mise à niveau de son projet d’apprentissage autonome en un projet d’appui standard ou sur mesure, en fonction de son évolution, du contexte global et spécifique, des améliorations démontrées et des ressources disponibles dans le cadre du programme mobilisé pour son projet.

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De quels types d’activités vais-je bénéficier dans le cadre d’un « projet d’appui standard » ?

L’esprit du projet d’appui standard est de faire en sorte que le demandeur soit en meilleure position pour améliorer continuellement ses opérations, et ainsi contribuer de plus en plus à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD), en :

  1. Accédant aux ressources disponibles du COLEAD via les plateformes en ligne (y compris l’E-Learning avec des cours d’auto-apprentissage) ;
  2. Effectuant une auto-évaluation de la durabilité ou des SPS (uniquement si applicable) ;
  3. Participant aux cours de formation collective du COLEAD (sur place ou numérique) ;
  4. Bénéficiant d’un coaching individuel (sur site ou numérique) pour mettre en œuvre les connaissances, aptitudes et compétences nouvellement acquises (si justifié ) ;
  5. Recevant des mises à jour régulières sur les activités du COLEAD et les nouvelles du secteur agroalimentaire UE-ACP ;
  6. Se connectant à une communauté de professionnels partageant la même vision pour un apprentissage entre pairs, des opportunités d’activités promotionnelles, et plus encore ;
  7. Contribuant à la définition des priorités en termes de développements techniques et politiques futurs du COLEAD par le partage de défis et/ou d’opportunités individuels ;

Le demandeur bénéficiera de l’orientation et des conseils de l’équipe du COLEAD en charge des activités d’appui dans son pays pour tirer pleinement parti des opportunités d’apprentissage et d’amélioration du projet d’appui standard, conformément à son contexte, ses objectifs et le mandat du programme dans le cadre duquel le projet est construit.

En outre, grâce aux partenariats existants du COLEAD, des opportunités de fournir un appui complémentaire au demandeur pourraient être identifiées.

Enfin, le demandeur peut bénéficier d’une éventuelle mise à niveau de son projet d’appui standard en un projet sur mesure, en fonction de son évolution, du contexte global et spécifique, des améliorations démontrées, et des ressources disponibles dans le cadre du programme mobilisé pour son projet.

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De quels types d’activités vais-je bénéficier via un « projet sur mesure » ?

L’esprit du projet sur mesure est de faire en sorte que le demandeur soit en meilleure position pour améliorer continuellement ses opérations, et ainsi contribuer de plus en plus à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD), en :

  1. Accédant aux ressources disponibles du COLEAD via les plateformes en ligne (y compris l’E-Learning avec des cours d’auto-apprentissage) ;
  2. Effectuant une auto-évaluation de la durabilité ou du système SPS (uniquement si applicable) ;
  3. Définissant un plan d’action personnalisé avec le COLEAD, comprenant des activités de soutien spécifiques conçues pour le soumissionnaire ;
  4. Participant aux formations collectives du COLEAD (sur site ou numérique) ;
  5. Bénéficiant d’activités de soutien personnalisées, principalement par le biais de formations et d’activités d’assistance technique ;
  6. Recevant des mises à jour régulières sur les activités du COLEAD et les nouvelles du secteur agroalimentaire UE-ACP ;
  7. Se connectant à une communauté de professionnels partageant la même vision, pour un apprentissage entre pairs, des opportunités d’activités promotionnelles, et plus encore ;
  8. Contribuant à la définition des priorités en termes de développements techniques et politiques futurs du COLEAD par le partage des défis et/ou opportunités individuels ;

Le demandeur bénéficiera de l’orientation et des conseils de l’équipe du COLEAD en charge des activités d’appui dans son pays pour tirer pleinement profit des opportunités d’apprentissage et d’amélioration du projet sur mesure, en accord avec son contexte, ses objectifs et le mandat du programme dans le cadre duquel le projet est construit.

Enfin, grâce aux partenariats existants du COLEAD, des opportunités d’apporter un soutien complémentaire au demandeur peuvent être identifiées.

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Existe-t-il un autre moyen de bénéficier d’un soutien que via l’envoi d’une demande d’appui et la construction d’un projet de développement ?

Oui.

Les soutiens via les programmes sont généralement doubles : des activités réalisées directement avec les organisations via un projet de développement (principalement par les départements d’assistance technique et de formation, qui nécessitent une demande initiale d’appui) et l’accès aux ressources en ligne (générés par les départements Informations sur les marchés, Réglementations et Standards, Courtage en Recherche et Innovation, Réseaux & Alliances et Accès au financement) produites dans le cadre des programmes et destinées à bénéficier au plus grand nombre d’organisations possible.

  1. Restez informé.e des événements en ligne, des foires commerciales, des publications techniques, des nouvelles du secteur agroalimentaire, du COLEAD et de ses programmes en vous inscrivant à notre newsletter Cliquez ici.
  2. Et accédez aux ressources disponibles du COLEAD via les plateformes en ligne Cliquez ici y compris l’apprentissage en ligne, Cliquez ici

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Quels sont les principaux critères qui sont utilisés pour analyser votre demande et dimensionner le projet de développement ?

Il existe trois types de projets de développement :

(i) Projet d’apprentissage autonome ;
(ii) Projet d’appui standard ;
(iii) Projet sur mesure.

Le type (et/ou la portée) du projet de développement proposé au demandeur dépendra de ce qui suit :

  • Impact mesurable sur le développement : le soutien accordé à une organisation doit contribuer de manière rentable à la réalisation des objectifs de développement durable. Cela exige de la transparence quant aux objectifs et aux résultats, ainsi que des dispositifs appropriés de suivi, d’évaluation et de mesure des résultats.
  • Additionnalité : sans le soutien envisagé, l’organisation n’entreprendrait pas l’action ou l’investissement, ou ne le ferait pas à la même échelle, au même moment, au même endroit ou selon les mêmes normes. L’action soutenue ne doit pas évincer le secteur privé ou remplacer d’autres financements privés.
  • Neutralité des interventions : le soutien accordé ne doit pas fausser le marché et doit être attribué par un système ouvert, transparent et équitable. Il doit être de nature temporaire avec une stratégie de sortie clairement définie. Le soutien justifié par les défaillances du marché et les risques qui en découlent ne doit pas avoir pour effet de décourager les efforts de réforme réglementaire visant à remédier aux causes des défaillances du marché.
  • Intérêt partagé et cofinancement : les partenariats dans le cadre de projets de développement doivent être fondés sur la rentabilité, l’intérêt partagé et la responsabilité mutuelle des résultats. Les risques, les coûts et les bénéfices d’un projet commun doivent être partagés équitablement.
  • L’effet de démonstration créé pour le secteur : une action soutenue doit viser à avoir un effet de démonstration clair qui catalyse le développement du marché en attirant d’autres acteurs du secteur pour la reproduction et la mise à l’échelle des résultats du développement.
  • Respect des normes sociales, environnementales et fiscales : les organisations, en particulier les opérateurs du secteur privé, qui bénéficient d’un soutien doivent démontrer que leurs opérations sont conformes aux normes environnementales, sociales et fiscales, y compris le respect des droits de l’homme et des populations autochtones, le travail décent, la bonne gouvernance d’entreprise et les normes spécifiques au secteur.

Les résultats de l’analyse selon les critères susmentionnés seront combinés à d’autres critères tels que : l’adéquation entre les défis à relever/les opportunités à exploiter par le demandeur et les objectifs généraux et spécifiques du programme dans le cadre duquel cette demande d’appui est analysée ; le contexte général et spécifique du demandeur, de sa communauté et/ou de son secteur ; l’historique du soutien reçu par le demandeur dans le cadre des programmes gérés par la COLEAD, et/ou le soutien actuel fourni par d’autres organisations ; la capacité anticipée du demandeur à absorber, soutenir et exploiter le soutien reçu ; les ressources financières disponibles dans le cadre du programme considéré au moment de la réception de la demande d’appui.
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Quels sont les grands principes qui encadrent les interventions du COLEAD dans les projets de développement mis en œuvre à travers les programmes ?

 

  • Principe d’approche participative et de partage des coûts (engagement mutuel) : les activités directement mises en œuvre avec les partenaires bénéficiaires se feront dans le cadre d’un projet de développement, comprenant un plan d’action et un budget prévisionnel avec des contributions du COLEAD d’une part (à travers le programme grâce auquel le plan d’action est construit) et du demandeur d’autre part. De cette manière, les coûts seront partagés. Par exemple, la contribution du demandeur peut consister en l’amélioration des infrastructures (telles que les infrastructures de conditionnement, la chaîne du froid, le stockage des produits phytosanitaires), l’achat d’équipements, les ressources humaines, etc.
  • Principe des activités  » à la demande  » : le demandeur doit soumettre une demande d’appui via l’un des formulaires prévus à cet effet, en fonction du type d’organisation qui fait la demande.
  • Le COLEAD travaille principalement à travers des chaînes de valeur existantes, et l’accès aux marchés formels est un élément crucial. Grâce à une chaîne de valeur existante, les parties prenantes sont en meilleure position pour cofinancer et maintenir les améliorations obtenues grâce au soutien apporté. Par exemple, la conformité aux réglementations et aux normes est coûteuse et, pour une durabilité à long terme du soutien, les ressources doivent également provenir directement des parties prenantes.
  • Appropriation locale de la stratégie et des activités à mettre en œuvre pour répondre aux attentes du marché ;
  • Pas de substitution des acteurs locaux dans leurs rôles et responsabilités respectifs ;
  • Investissement dans l’expertise et les ressources humaines locales par le biais d’un renforcement des capacités approfondi et à long terme ;
  • Le soutien est fourni sur la durée (1-5 ans) : L’impact du soutien du COLEAD est le résultat non pas d’une activité unique, mais d’un soutien ciblé sur la durée (1-5 ans) visant à rendre l’organisation ou l’entreprise plus résiliente par un changement de comportement et de mentalité et une restructuration globale.
  • Tirer parti des solutions techniques, numériques et pédagogiques développées au cours des 20 dernières années pour l’ensemble de la filière horticole et de l’adaptation de ces solutions au contexte national spécifique et aux autres chaînes de valeur agroalimentaires ;
  • Les domaines exclus du soutien sont : les coûts de fonctionnement (tels que les ressources humaines, la certification si elle est déjà soutenue, les analyses de laboratoire), les équipements et les infrastructures.

 

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Un partenaire bénéficiaire peut-il recevoir des fonds du COLEAD directement par le biais de programmes ?

Non.

Il est convenu avec les bailleurs actuels que les fonds ne peuvent pas être transférés directement aux demandeurs par le biais du budget prévu dans les programmes (à l’exception des remboursements des dépenses convenues ex ante et encourues par le partenaire bénéficiaire). Les expertises (ou fournitures) contractées pour les activités de soutien sont payées directement par le COLEAD. Ces services (ou fournitures) doivent avoir été obtenus dans le strict respect des procédures de passation de marchés du COLEAD.
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Dois-je devenir membre du COLEAD pour bénéficier du soutien de programmes gérés par la COLEAD ?

Non.

Néanmoins, nous vous encourageons vivement à rejoindre l’association pour faire entendre votre voix et contribuer à la construction d’une organisation plus forte, capable de travailler plus efficacement en partenariat avec d’autres pour atteindre les Objectifs de Développement Durable, en particulier les suivants : (1) Pas de pauvreté, (2) Faim zéro, (4) Éducation de qualité, (5) Égalité des sexes, (8) Travail décent et croissance économique, (9) Industrie, innovation et infrastructures, (10) Réduction des inégalités, (12) Consommation et production responsables, (13) Action climatique, (15) Vie sur terre, (17) Partenariats pour les objectifs.
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Ma structure est déjà appuyée par le COLEAD via l’un de ses programmes, puis-je compléter une nouvelle demande d’appui ?

Si votre structure est déjà appuyée par l’un des programmes du COLEAD et que vous souhaitez tout de même rentrer une nouvelle demande d’appui, nous vous conseillons de vous rapprocher de votre personne de contact au sein de l’équipe d’assistance technique.

De manière générale, la priorité sera donnée à la finalisation de votre projet de développement en cours avant d’en démarrer un nouveau. Néanmoins, il est possible que votre projet soit éventuellement adapté en fonction de vos nouveaux besoins, ou clôturé prématurément afin de développer un plan d’actions sous le nouveau programme considéré.
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